grotte de Pâques

Participants : Alice, Clémence, Laure

Franck à l’AG, les autres au marché, je fais mon asociale et embarque mes filles direction la grotte de Pâques.

Je range le camion, plie le toit et c’est parti en suivant les conseils des organisateurs du congrès : Saint Cézaire, direction Mons via les gorges de la Siagne. Une route à droite, je bifurque et me gare sur le parking, ravie d’y trouver une place.

On s’équipe toutes les 3 et entamons la route puis le sentier que l’on gravit. « Oh hisse ! allez mes louloute, promis, on n’est plus très loin… » Quasiment arrivées, le doute s’installe… je n’ai pas vérifié si les piles sont bien dans les frontales des filles… Sous le porche d’entrée, je ne peux que constater : pas de piles… Mince ! Bon. J’ai ma lampe de secours que j’enfile sur le casque d’Alice et la scurion de franck.

Deux dames arrivent, fées lumière, et me prêtent une lampe. Ouf ! la sortie est sauvée.

On avance donc toutes les 5, au rythme de mes championnes spéléo. Seulement, ne voulant pas trop ralentir nos deux accompagnatrices, je m’arrête rapidement dans une salle que l’on prend le temps d’admirer. Le vocabulaire spéléologique de Clémence et Alice s’enrichit.

Nous regagnons tranquillement la sortie. Et c’est dans la dernière flaque qu’Alice décide de sauter à pied joint. Oups, celle-là était plus profonde que les autres et c’est jusqu’à mi-cuisses qu’elle se trempe.Chouette ! Je vais pouvoir mettre en pratique les conseils de mon stage ASV. C’est donc déshabillée et au chaud sous une couverture de survie que nous prenons le goûter.

De retour au camion, séchées et changées, nous repartons vers la résurgence de la foux, où les nettoyeurs de combis très boueuses, sont nombreux.

On suit un petit moment le canal qui s’en suit et rentrons à Saint Vallier, où l’AG terminée, nous retrouvons Franck & co.