Avec La Valette (Didou, Jean-Claude, angélique), Les Aragnous (Chrisitane et Didier, Sophie et Philippe) et le Gas (Zette)
Juste l'impression d'une gaseuse: - une sortie joyeuse: une bande de rigolos n'a pas hésité à me mettre en sac! - une sortie illuminée, des acétos partout! Une équipe dans chaque réseau, le normal et le Marseillais, a donné toute son ampleur à la faille de La Solitude. - une gentillesse à toute épreuve: Angélique comme som nom l'indique, Sophie, Philippe, Jean-Claude ...Merci Christiane... Didou qui bougonne (parfois), et Didier qui râle arpès les objets...
Mais pour aprler technique, voir le résumé de Jean-Claude: puits - réseaux - équipement - scellements - ...moi, rien je n'y entends!!! Mais, pas de pet dans les manoeuvres de descente et de remontée. Super l'équipent unanimement.
participants: Yvas, Franck et Laure. Enfin, je retrouve la Ripelle après de nombreuses années d'absence et plusieurs explos ratées ou trop pluvieuses. On mange au pied de ce porche marquant l'entrée. J'équipe les 2 premiers puits, on farfouille un peu, on passe la fameuse étroiture en tire bouchon. Les deux premiers puits où l'on devait rappeler la corde sont équipés en fixe. On cherche un peu dans la salle du labyrinthe, passons le toboggan, et nous voilà au haut de la salle du lac qui porte bien son nom aujourdh'ui. L'oeil de Luc nous laisse passser et Franck équipe l'escalade du puits des Loirs puis nous assure. De belles concrétions sont éparpillées sur l'ensemble de notre traversée.
Compte rendu :Yves avait repéré, un jour de grosse pluie, une résurgence 40m sous l’entrée des Rampins. Par ce samedi ensoleillé nous y sommes allés, armés de burins, massettes, barre à mine, seaux et binette. Sur une pente terreuse à proximité du lit d’un torrent, Yves nous montre un petit trou par lequel il a vu l’eau sortir. Quand le soleil se couche derrière la montagne, après 4 heures de travail, il y a une tranchée de 2m et profonde d’1m50. On a suivit l’hypothétique passage qu’emprunte l’eau. A de rares moments on a rencontré des vides. Pendant ce temps, Manon et Julie on joué du burin et de la massette autour de nous. En repartant à la nuit tombée, Yves nous montre l’entrée de la source de Fougelys.
Si on est courageux, on reviendra creuser mais le travail semble colossal pour le peu d’espoir qu’on a.
Pour une première descente sur corde, Planesselve à été choisie pour Corinne, par Topol qui s'est fait escorter du must du club, c'est-à-à dire Yves et moi-même(Christine;-) En ce dimanche 13 janvier 2008, rendez-vous est finalement donné vers 13h30 sur site. Quand nous arrivons, Topol et Corinne ont déjà repéré l'entrée, mais n'ont pas encore mangé. Le temps de leur pique-nique sur le pouce et de l'ajustement des casques et baudriers précédemment utilisé par les enfants, Yves part équiper les puits d'entrée. Vers 14h30 Corinne utilise un descendeur pour la première fois en réel sous-terre ; séquence émotion..Il n'y a pas beaucoup de place, et au moins 2 passages carrément étroits, mais tout le monde passe et atteint bientôt la rivière, une quarantaine de mètres plus bas. Nous barbotons un peu en amont, vers les rampins mais ne nous immergeons pas plus haut qu'à mi-cuisse, et puis nous ferons un tour en aval, où d'ailleurs Yves sera "avalé" par les marmittes, lors du déséquipement de la main courante galamment installés pas ces messieurs au-dessus du bouillon. C'est donc bien humides que nous attaquons la remontée. Corinne "pige" vite le principe de technique de la remontée sur corde, ne se sent vraiment pas à l'aise dans aussi peu de place pour se mouvoir, mais en parle avec le sourire une fois des vêtements secs enfilés et c'est le principal. 2 gaziers + 2 gazières = 4 heures sous terre
Mise en jambe la veille à la station d'Ancelle: tout va bien, j'arrive à skier malgré le froid, la neige et le vent. Bon entraînement pour la rando à ski prévue le 13.01. Lever à 7h (oh que c'est dur). On commence la rando vers 9h30. Ca commence plutôt cool, relativement plat, puis on décide de faire notre trace. Je passe la dernière pour que ce soit plus facile (merci merci). Au bout d'une heure de grimpette je me rends compte que mes muscles des cuisses ont disparus (je les cherche toujours d'ailleurs). C'est magnifique, on passe au milieu de rochers ensevelis sous la neige fraichement tombée, un grand soleil: les conditions sont vraiment idéales et les paysages grandioses. Tout va à bien (même si je souffre à peu près en silence; de toute façon, ils sont trop loin de vant pour m'entendre râler) jusqu'au sommet, plus précisemment une vingtaine de mètres en dessous. L'enchaînement des conversions sur une neige gelée et une pente très très très raide (donc je glisse, forcément) me font perdre un peu le sourire. Et puis je ne fait pas vraiment la fière quand je vois par où ils veulent me faire descendre: les fous!!! une pente où on voit même pas le bas, mon manque croissant de force dans les cuisses, le vent... bon ben quand faut y aller, faut y aller! On se jète dans le vide, et c'est parti pour une superbe descente. Même quand je me vautre c'est confortable. Bon, c'est un peu la galère pour sortir les skis de sous la neige, mais heureusement, j'étais entourée d'âmes bienveillantes. Bon, j'en ai bien chié, mais J'AI ADORE. Merci à mes accompagnateurs patients (Rodolphe, Franck et Yann).
du 26 au 31.07.2021: camp en haute savoie avec traversée de la diau et merveilleuse/vertige
16 & 17.10.2021: exercice secours au Mouret
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historique et presentation
Au départ, 4 copains de Carqueiranne qui pratique la spéléo depuis l’âge de 15 ans.
Nous nous rapprochons vite du SCS (Spéléo Club de Sanary), club très structuré où la famille Clément nous accueille à bras ouverts. Pendant 4 ans, Hervé Tainton, président du club va nous entraîner sur de nombreux massifs calcaires dans des aventures plus rocambolesques les unes que les autres.
Petit à petit, nous faisons découvrir notre passion à d’autres amis de notre commune. En 1983, nous décidons de nous émanciper en créant un club à Carqueiranne. Etant tous motards, nous avons fait en sorte que les initiales du nom fassent GAS, le G étant tiré d’une vieille légende provençale.
Depuis le début, le club est affilié à la FFS (Fédération Française de Spéléologie) avec une forte implication dans la vie et les actions fédérales.
Par ailleurs, il a un agrément « Jeunesse et sports » et est membre du CDS 83 (Comité Départemental de Spéléo).
Son fonctionnement est totalement basé sur le bénévolat. Les anciens initient et forment les nouveaux qui à leur tour deviennent encadrant.
Actuellement, il est partenaire actif de l’EDSC 83 (école départementale de spéléo et de canyon) et est engagé auprès du SSF 83 (spéléo secours) pour diverses missions spécialisées.
Il dispose d’un matériel collectif conséquent qui permet de pratiquer la spéléologie sportive ou d’exploration, le canyoning, l’escalade et la randonnée engagée.
Deux bulletins retraçant nos aventures de 1983 à 1997 ont été édités par Alain Kilian et sont disponibles ci dessous, ainsi que tous les comptes-rendus annuels d’activités depuis 2005.