Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
GALAMAOUD ASSOCIATION SPELEO

GALAMAOUD ASSOCIATION SPELEO

Actualités du club spéléo de Carqueiranne

Publié le par Baptiste

Une petite spéléo du soir de plus, cette fois ce sera au Cierge.
Nous serons en nombre, Maxime (de l'Escandaou), Martin et son pote (du GARS), Margaux, Anna, Justine et moi (Baptiste).
Nous descendrons côté - 104. Une spéléo rapide mais très sympathique, nous conseillons la petite étroiture en bas qui ne sert à rien et c'est pour cela qu'on l'aime.

 

Voir les commentaires

Publié le par Paul

Au détour d’une conversation avec Arnaud, on se dit qu’il y a un moment qu’on n’a pas fait une sortie club. Rencontrer de nouvelles personnes, s’enrichir des expériences des autres, mais surtout raconter des conneries avec tout le monde… ça nous manque !!!

Je propose la Castelette. Arnaud trouve que c’est une très bonne idée : ludique, accessible à beaucoup de spéléos. Je l’avais en tête : écouter deux ou trois légendes urbaines (voûte mouillante…), ça promet, nous verrons bien. Un message sur le groupe, et Paul G. nous rejoint.

C’est une cavité spéléo par excellence : accessible, variée, elle offre un peu de tout. Ça monte, ça descend, il y a des étroitures, des concrétions, mais surtout de l’eau… Bref, un beau panel de ce que l’on peut découvrir sous terre.

Petite discussion technique sur la néoprène, Paul G. le local de l’étape, nous conseille de la garder durant toute la sortie. Ce fut la meilleure décision pour gagner du temps. Malgré que je sois « l’homme-torche », tout s’est bien passé. J’avais une 4 mm, mais une 2 mm aurait suffi. (Je suis prêt à affronter Thanos, easy!). Arnaud avait une 5mm et Paul G. une 2,5mm.

Nous entrons par l’entrée artificielle. (Petit pensée « RaeRae », mais version terre. Ceux qui n’ont pas la référence, je pourrais vous faire un dessin… en fait non)

J’équipe, je loupe un amarrage à la descente, à peine 15 min sous terre, je dois déjà une bière à tout le monde. Merci à Arnaud et Paul G. qui me donnent 2-3 tips pour l’équipement. Pendant que j’équipe ils se jaugent subtilement à savoir qui a la plus longue …expérience : « je ne sais pas si ça fait longtemps que tu fais de la spéléo mais avant mon initiateur je faisais toujours comme çà et puis maintenant j’ai changé et ça marche beaucoup mieux » ; « ils sont bien ces nouveaux mousquetons freino, à l’époque on n’avait pas ça, d’ailleurs je suis toujours à l’ancienne avec mon vieux mousqueton » ; etc.

Comme d’habitude, nous avons pris beaucoup de matériel, "au cas où". Un petit rappel de 25 m, ce sera le seul. On progresse dans le lit de la rivière et arrivons à "la Méduse", un ressaut de 4 m bien équipé. Ce n’est pas tous les jours qu’on chevauche une méduse. Une première fois, ça compte toujours.

Ensuite, nous arrivons à la fameuse voûte mouillante, légende de la cavité : entre ceux qui seraient restés bloqués, ceux qui ont vus des choses se déplacer dans l’eau… Le bassin est grand, il y a de l’espace. Moins de 3 m à franchir, çà frotille, mais pas de difficulté particulière. Quand on la met dans le ratio de l’ensemble de la cavité, ce n’est pas grand-chose.

Nous poursuivons dans la rivière : vasques, cascades dans les gours, eau limpide… Peut-être la plus belle partie de la cavité. Nous atteignons le chaos de blocs, qui mène à la grande salle. Heureusement, un fil d’Ariane est installé, car c’est très paumatoire. Petite pensée pour ceux qui ont trouvé le cheminement. Au milieu, Arnaud ne manquant pas d’humour me dit : « T’imagines si ça bouge ? » C’est clair, on dirait un mikado géant : mieux vaut ne pas retirer le mauvais caillou. D’ailleurs, à un moment, j’ai malencontreusement déplacé un petit caillou de 2 cm avec mon pied, il y a eu un grondement, Heureusement, Paul G., avec son entraînement de crossfiteur, a maintenu l’étroiture le temps que je remette le caillou en place. Ouf !!! (Nouvelle légende urbaine).

Une fois sortie du chaos de blocs, la grande salle est là, elle est grande, très grande, bref c’est une grande salle. Là aussi j’ai eu droit à : « quand on a commencé à avoir des vraies lampes on a pu voir l’immensité de la salle, ce n’était pas la même avec les lampes a carbures ; déjà quand je suis passé de l’acétylène à la lampe 13 leds, qui était une révolution à l’époque, … » Nous poursuivons dans la rivière : encore de très belles cascades, avant d’entrer dans le canyon. Le canyon est spectaculaire,

très haut et assez long. Nous optons pour le « sentier aquatique » : alternance de marche avec de l’eau jusqu’à la poitrine et de nage. Cela nous a fait gagner un temps fou, et en néoprène, pour l’homme torche c’est très agréable. L’autre option consiste à progresser en opposition à 3 m au-dessus de l’eau, en posant des mains courantes …

Nous atteignons la salle du siphon. Dernier cheminement à quatre pattes avant d’y arriver : le fameux siphon, rien d’extraordinaire sauf que l’on peut continuer en plongée bouteille. Petite pause. Nous décidons de manger dans la salle du siphon, en prenant le temps de discuter.

La progression retour fut tout aussi belle.

Pour conclure cette cavité est magnifique. C’est exactement ce qu’on imagine de la spéléologie quand on n’y connaît rien. Elle est dominée par l’eau, mais sa diversité de paysages souterrains est incroyable. Il faut y aller pour une chose : voir l’enchainement des cascades dans les gours (Un gour est une vasque de calcaire concrétionné).

Petite équipe de trois au top : dommage pour ceux qui n’ont pas pu venir. Avec la marche d’approche, nous avons mis 5 heures A/R, dont 4 heures sous terre. Le rythme était normal, pas de temps mort, on a pris le temps d’apprécier. Nous sommes tous les trois sortis avec le sourire : une belle sortie, pas trop physique, et des paysages à couper le souffle. Est-ce que l’eau est froide ? non, elle est vivifiante mais avec l’effort c’est transparent. Par contre pour ceux qui se posent la question : elle est mouillée et çà on n’y peut rien !!!!

Bon, j’ai essayé de filmer, mais il reste quelques réglages à faire, on ne peut pas être bon partout…je vous invite à venir la découvrir par vous-même, sinon vous pouvez aller voir sur internet les photos du photographe Philippe Crochet.

Nous avons fini par casser la croute et boire une bière…car comme le dit si bien Micka : « une sortie du GAS, il y a toujours une bière, toujours… »

À vos combis, bouées, brassards, on y retourne quand vous voulez, sans hésiter !

Voir les commentaires

Publié le par christophe

Nous étions 4 de 3 départements différents un vendredi soir à l'entrée du souffleur.

Le but était de vérifier l'état du bivouac; surtout le degré d'humidité des duvets suite à quelques utilisations plus ou moins pirates et respectueuses du matériel laissé sur place. Nous en avons profité pour descendre quelques kilos de carbure gracieusement offerts par le club. Vive le GAS ! 🙂

Après avoir rangé le matériel et fait une visite au siphon amont pour le plaisir, nous sommes remontés le samedi après-midi lestés de quelques déchets récents oubliés... 🙁

 

 

Voir les commentaires

Publié le par Marie

Dimanche 13 Octobre 2024

 

Après avoir validé ma première chauve-souris et l’initiation à la verticale, deuxième étape de notre progression, la découverte de la verticalité.

 

Nous avons rdv au parking du Gaudin, à la glacière du Pivaut St Baume.

Nous sommes accueillis par Laure et son lumineux sourire Léo et sa maman et Denis.

Nous nous équipons des baudriers, harnais de torse et passons en revue le matériel qui nous entoure.

Je connaissais déjà un peu pour avoir été bizutée sur l’arbre du jardin de Laure et Franck (bravo …) !!

Laure nous indique que deux futurs initiateurs Sandrine et Vincent vont nous prendre en charge.

 

Nous arrivons sur site une faille est équipée et de l’autre côté un mur rocheux plein vide qui, selon mon œil expert de fine métreuse, mon stress additionné à la force du vent et la taille des nuages fait au moins 200 mètres !!! Ah … on me dit que ce n’était que cinq mètres vu d’en haut je n’aurais pas cru … Vu d’en bas en effet … 😊

 

Etrangement je me sens plus à l’aise entre deux murs que contre un seul, de l’avis général c’est ce qu’à peu près tout le monde ressent.

Sandrine me prend alors sous son aile. Nous passons en revue l’équipement deux petites erreurs avaient sciemment étaient glissées (bizut bis repetita  😊) et nous amorçons la descente.

Sandrine m’énonce de façon très claire, calme et posée les indications quant à ma progression. Première difficulté le fractionnement et là le moment où l’on doit se positionner dans le vide. Et c’est à cet instant précis que mon cerveau c’est fractionné lui aussi. D’un côté la peur de l’autre la conscience, l’envie, la motivation autrement dit apprends bien tu descendras bien et à toi les explorations.

 

Lorsque la partie gauche dont je suis la moins fière me dit « es-tu sure Marie de cet équipement ? Ne pourrait-il pas te lâcher, s’entortiller ou pire dont je n’ai pas encore réfléchit ??

L’autre partie me dit non regarde, ils sont passés dix fois les copains ils ne sont pas tombés ils sont flex les bras ballant dans le vide … il n’y a rien à craindre. D’autant que tu as regardé l’équipement tout est parfait les mousquetons sont parfaitement positionnés, les cordes pareil on est bon.

 

Et satisfaction, je l’ai fait et en fin de compte tout va bien je me sens plutôt bien entre deux rochers.

 

L’après-midi Denis et Franck m’accompagnent Denis m’apprend la descente dans le vide c’est la même chose que le matin mais l’environnement est différent et je ne suis pas franchement à l’aise mais il a les mots, la posture pour me faire comprendre que je suis parfaitement sécure. Bon la partie gauche de mon cerveau me fait trembler des jambes me tétanise un peu le bras gauche … La plaie la prochaine fois je viens sans elle … Mais Doriane qui me regardait du haut de la colline a su trouver les mots aussi pour apaiser la légère appréhension.

 

Je remonte avec Franck et pareil son aisance est incroyable et le déclic je n’ai plus plus peur. Je suis à l’aise moi aussi, Laure prends le relais et nous remontons par un autre côté j’apprends la simplification des procédures en gardant la sécurité en priorité pour la  deuxième difficulté, la déviation.

Là, mes coudes et mes genoux sont allés au contact des rochers … Ce besoin de proximité … je ne comprends pas lol !!

Mes genoux aussi par ailleurs allons bon … Que tout le monde s’y mette, allons y …

C’est à ce moment-là que Guillaume décide de simuler une glissade… mais il est toujours accroché… il est extrêmement fiable ce matériel c’est bien ce que je disais !!! eh eh …

 

En conclusion merci infiniment à tous pour cette journée, pour votre patience, pour les astuces et explications, la bienveillance, la camaraderie, l’apéro, A aucun moment je n’ai senti de vous une quelconque lassitude à nous attendre, à nous apprendre. <3

 

Je me sens prête à descendre !! Pas aujourd’hui parce que j’ai deux trois bobo mais demain c’est sur !!!

 

Et pour finir : « La rivière a besoin de prendre le risque d’entrer dans l’océan parce que c’est alors seulement que la peur disparaîtra, parce que c’est là que la rivière saura qu’il ne s’agit pas de disparaitre dans l’océan, mais de devenir océan. »

 

Marie.

 

Voir les commentaires

Publié le par cat et jm

Voir les commentaires

Publié le par Paul M

bonne lecture!!!

Voir les commentaires

Publié le par emeline

c'est le trou de diable qui ce soir sera l'heureux élu de notre programme dépollution de cavités!

dépollution
dépollution
dépollution
dépollution
dépollution
dépollution
dépollution
dépollution
dépollution
dépollution
dépollution
dépollution

Voir les commentaires

Publié le par gasclub83

Paul curieux de découvrir l'activité de topographie à répondu présent pour m'accompagner continuer la topographie du réseau du sabre.

Aujourd'hui l'objectif est de finaliser le segment entre le siphon intermédiaire du méandre noir et un des derniers points topographie réalisé il y a longtemps dans les laminoirs de font noire.

Nous arrivons sur place vers 9h30 et après une préparation rapide nous allons jeter un coup d'œil à la résurgence de font noire dans l'idée de passer par cet endroit pour continuer la topographie.

Malchance la sortie est déjà/toujours siphonnante peut-être à cause les dernières pluies de la semaine.

Pas de problème nous nous dirigeons alors vers l'entrée des galeries de mines afin de passer par le réseau du méandre noir.

Nous arrivons à l'entrée des galeries vers 10h. Et nous attaquons la descente et la marche vers le siphon un peu pessimiste sur son état de remplissage. A notre arrivée, nous sommes surpris, le niveau de remplissage du  siphon est relativement bas et son passage est possible à la nage. Ni une ni deux nous nous mettons à l'eau et nous traversons la petite étendue d'eau.

 Je vais m'assurer rapidement que le dernier point topo est accessible, ce qui est le cas, là encore à ma grande surprise et après quelques explications rapides sur les méthodes à appliquer on se met en œuvre avec Paul pour finir le tracé jusqu'à la sortie du siphon

 Quelques petites difficultés ralentissent notre travail mais nous y arrivons  et au bout d' 1h30 environ de labeur, la boucle est bouclée avec le reste du réseau. C'est une grande victoire pour moi car cette partie-là me permet de faire la jonction de la topographie avec la rivière.

On décide avec Paul que notre excursion de jour s'arrêtera là nous n'irons pas continuer la topographie de la galerie du SCM côté méandre blanc.

Nous prenons un moment sur les terrils à la sortie des galeries de mines afin de prendre un petit pique-nique et on remonte tranquillement vers les voitures en faisant quelques petits détours sur le lapiaz pour présenter à Paul les quelques entrées des cavités qui permettent d'accéder au réseau du sabre via les passages

Retour ensuite à la maison.
La suite sous peu j'espère !

Guillaume

Voir les commentaires

Publié le par gasclub83

Hier, avec Guillaume, nous sommes allés cartographier une petite partie du réseau Sabre. Visiblement, ça ne fait pas rêver beaucoup de spéléos. Je m'attendais à quelque chose de barbant, mais Guillaume est passionné et passionnant. Je n’en ferai pas mon leitmotiv, mais de temps en temps, mettre la main à la pâte (au carreau 😉), c'est plutôt cool et très intéressant. Et puis, faire tout ça trempé, ça n'a pas de prix 💪. Merci Guillaume

sabre
sabre
sabre
sabre
sabre

Voir les commentaires

Publié le par Marie

Dimanche 1er Septembre 2024.

 
Le grand jour, nous allons découvrir pour la première fois une cavité. 
Après avoir visité des grottes aménagées notamment la grotte de la Salamandre dans le Gard et la grotte de Neptune en Sardaigne nous allons vraiment descendre.
J'appréhende un peu de ... Fuir devant l'étroitesse et l'obscurité ...ralentir mes acolytes par mon inexpérience.
Mais une chose est sûre j'ai vraiment envie de descendre.
Depuis des années Carine me parle de la spéléologie comme une activité quasi thérapeutique lui apportant beaucoup.
Nous nous donnons rendez- vous à Néoules.
Devant la cavité nous sentons déjà la fraîcheur de la terre, nous allumons les frontales, ajustons les gants et c'est parti.
Accroupis, sur les genoux, allongés, sur les fesses, découvrir des salles se mérite.
Et ce qui me saute aux yeux ce sont les paillettes sur les roches, les coquetteries de la pierre qui se drape, se pare de dentelle, devient lisse ou troué, les fistuleuses les stalagmites et autres stalactites les couleurs le noir de la manganese, le marron de glaise ou de l'argile, le calcaire les piliers stalagmitiques ... un bonheur pour les yeux ...
Au delà de la vision il y a aussi l'odorat, les effluves variées de l'intérieur de la terre cela sent l'eau, les terres .. Tous les sens sont en éveil et découvrent.
Une fois arrivés dans la salle des carottes, c'est un autre monde qui s'offre à nous. Magnifique, nous nous sommes posées la question mais pour qui s'est elle faite aussi belle ?
Et nous avons tout éteint nos frontales et nos voix et là l'obscurité absolue et le silence absolu.
Mais la peur est absente pourtant petite j'avais peur dans le noir et j'entendais des bruits et là je me rends compte que je ne ressens pas la peur, je me sens sereine en sécurité avec la Terre mère, en cohésion, en alchimie avec Elle.
Et la salle des sables, une autre ambiance, l'écho est différent, l'air est différent, le sol comme du sable.
Et là je réalise que je viens d'ouvrir une boîte de pandore, il existe près de 12000 cavités en France !!! 
M'a même traversé l'esprit ... Notre dernière demeure pour ceux qui le choisissent se trouve aussi dans une cavité, si c'est comme ici je crois que je n'en ai plus peur. 
Il s'est passé quelque chose et je vais y retourner pour mieux comprendre encore.
Merci Carine, merci le GAS !!
A vite.
Marie
 
néoules by marie
néoules by marie
néoules by marie
néoules by marie
néoules by marie
néoules by marie
néoules by marie
néoules by marie
néoules by marie

Voir les commentaires

<< < 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 20 30 40 50 60 70 80 90 100 > >>

LIENS

www.laventure.fr

 

 

 

 

 

 

historique et presentation

Au départ, 4 copains de Carqueiranne qui pratique la spéléo depuis l’âge de 15 ans.

Nous nous rapprochons vite du SCS (Spéléo Club de Sanary), club très structuré où la famille Clément nous accueille à bras ouverts. Pendant 4 ans, Hervé Tainton, président du club va nous entraîner sur de nombreux massifs calcaires dans des aventures plus rocambolesques les unes que les autres.

Petit à petit, nous faisons découvrir notre passion à d’autres amis de notre commune. En 1983, nous décidons de nous émanciper en créant un club à Carqueiranne. Etant tous motards, nous avons fait en sorte que les initiales du nom fassent GAS, le G étant tiré d’une vieille légende provençale.

 

Depuis le début, le club est affilié à la FFS (Fédération Française de Spéléologie) avec une forte implication dans la vie et les actions fédérales.

Par ailleurs, il a un agrément « Jeunesse et sports » et est membre du CDS 83 (Comité Départemental de Spéléo).

Son fonctionnement est totalement basé sur le bénévolat. Les anciens initient et forment les nouveaux qui à leur tour deviennent encadrant.

Actuellement, il est partenaire actif de l’EDSC 83 (école départementale de spéléo et de canyon) et est engagé auprès du SSF 83 (spéléo secours) pour diverses missions spécialisées.

Il dispose d’un matériel collectif conséquent qui permet de pratiquer la spéléologie sportive ou d’exploration, le canyoning, l’escalade et la randonnée engagée.

 

Deux bulletins retraçant nos aventures de 1983 à 1997 ont été édités par Alain Kilian et sont disponibles ci dessous, ainsi que tous les comptes-rendus annuels d’activités depuis 2005.

 

Comptes rendus annuels

 

Toutes les vidéos sont à retrouver sur le lien :

 

Vidéos

 

Quelques articles de presse :

 

Articles

 

COMPOSITION DU BUREAU

 

Présidente : Laure Mattéoli

Vice présidente : Carine Fourcade

Trésorier : Franck Prévost

Secrétaire : Laurent Kilian

Secrétaire adjointe : Zette Mattéoli

 

Adresse postale : 79 rue Jean Jaurès, 83320 Carqueiranne

Tel : 06 09 09 28 12

Mail : contact@speleogas.org

Articles récents

Archives

Hébergé par Overblog