Le 23 décembre 2025, un vent glacial à décorner les buffles…
Quelques motivés (ou inconscients !) sont au rendez-vous au départ de la bergerie des cuillerets : Anaëlle, Laure, Justine, Arnaud, Paul et moi-même - Magali. Nous partons pour une trentaine de minutes de marche, dont environ une quinzaine dans la cambrousse, hors sentier, où les épines semblaient presque transpercer nos combinaisons, afin de trouver l’aven André Boyer.
Équipement posé, nous entamons la descente. Au bout du puits de 36 m, une belle salle, tapissée de hautes et exquises concrétions, s’offre à nous. Après quelques observations, nous envisageons qu’un peu d’escalade pourrait potentiellement permettre une exploration plus poussée de la salle.
Il ne fallait pas moins d’un peu de glaise au sol pour qu’Anaëlle nous montre ses talents de sculptrice avec un bonhomme de neige (parfait pour la saison !). Le squelette d’un serpent, découvert par Laure, capte notre attention pendant un moment, avant que l’heure de la remontée (et du vin chaud !) n’approche.
Une fois dehors, les couleurs flamboyantes du coucher de soleil nous accueillent et nous accompagnent sur le chemin du retour. La bergerie, vide à notre arrivée, s’est rapidement transformée en un foyer chaleureux, avec un feu de cheminée et un vin chaud mijotant qui réchauffe nos corps et nos cœurs (merci Paul pour cette excellente recette !). Papotages et échanges de cadeaux de Noël viennent clore cette belle après-midi.
Magali
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