Une journée oxygénation à été décidé par Topol, Corinne, Serge et moi-même, Christine, en ce doux dimanche de novembre. Malgré le levé matinal, nous commencerons à jouer des rotules vers 10h, après avoir laissé une voiture à l'arrivée (Revest), et une autre au départ (Signes).
Corinne savait que le départ du GR que nous avions décidé d'emprunter était au niveau du cimetière de Signes, mais, bande de veinards que nous sommes, nous avons gagné du temps en croisant un groupe de marcheurs qui nous a aiguillé dans le bon sens, et même, "armé" d'une carte d'un bon tiers du trajet.
Notre motivation a fait le reste, parce que ça n'en finissait pas de monter... Température idéale ; ni trop froid, ni trop chaud. Petit sentier dans un paysage automnal jusqu'à la bergerie de laLimate.
Et enfin du plat :-D
Un dernier effort, et nous décidons le réconfort d'un bon casse-croute.
A l'arrêt, le petit air qui souffle sur Siou-blanc, n'est pas très chaud, et nous reprenons notre chemin dans des senteurs champignonesques.
Au loin, je reconnais les falaises où il est si plaisant de s'initier au maniment du matériel spéléo et autres passages de fractio. Effectivement, à force de mettre le pied droit devant le pied gauche et le gauche devant le droit, nous frôlons le Palan, passons la bergerie, dépassons la grosse pierre en forme de Sarcophage un peu plus loin.
Et puis, c'est la descente (qui descend autant que la montée montait!) sur le Revest.
Nous arrivons à la voiture de Serge avant la nuit, il est 17h, et il nous faut encore rejoindre celle de Topol, laissé à Signes, avant que cette chouette journée ne s'achève. 20 kms à pied, ça use peut-être les souliers, mais pas le moral des troupes, qui se sentent de "remettre ça" dès que possible.
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Vous fîtes donc l'expérience de ce que disait Kierkegaard:<br />
"Ce n'est pas le chemin qui est difficile, c'est le difficile qui est le chemin." ;-)))<br />
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du 26 au 31.07.2021: camp en haute savoie avec traversée de la diau et merveilleuse/vertige
16 & 17.10.2021: exercice secours au Mouret
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historique et presentation
Au départ, 4 copains de Carqueiranne qui pratique la spéléo depuis l’âge de 15 ans.
Nous nous rapprochons vite du SCS (Spéléo Club de Sanary), club très structuré où la famille Clément nous accueille à bras ouverts. Pendant 4 ans, Hervé Tainton, président du club va nous entraîner sur de nombreux massifs calcaires dans des aventures plus rocambolesques les unes que les autres.
Petit à petit, nous faisons découvrir notre passion à d’autres amis de notre commune. En 1983, nous décidons de nous émanciper en créant un club à Carqueiranne. Etant tous motards, nous avons fait en sorte que les initiales du nom fassent GAS, le G étant tiré d’une vieille légende provençale.
Depuis le début, le club est affilié à la FFS (Fédération Française de Spéléologie) avec une forte implication dans la vie et les actions fédérales.
Par ailleurs, il a un agrément « Jeunesse et sports » et est membre du CDS 83 (Comité Départemental de Spéléo).
Son fonctionnement est totalement basé sur le bénévolat. Les anciens initient et forment les nouveaux qui à leur tour deviennent encadrant.
Actuellement, il est partenaire actif de l’EDSC 83 (école départementale de spéléo et de canyon) et est engagé auprès du SSF 83 (spéléo secours) pour diverses missions spécialisées.
Il dispose d’un matériel collectif conséquent qui permet de pratiquer la spéléologie sportive ou d’exploration, le canyoning, l’escalade et la randonnée engagée.
Deux bulletins retraçant nos aventures de 1983 à 1997 ont été édités par Alain Kilian et sont disponibles ci dessous, ainsi que tous les comptes-rendus annuels d’activités depuis 2005.
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