Tout à commencé avec le choix d'une chouette explo. à la réunion jeudi soir, puis avec la préparation du matériel, et samedi après-midi nous avons pris l'autoroute jusqu'à Grasse, la route jusqu'à Cabris pour finir sur la piste dans une clairière tout à fait propice au bivouac prévu, à une quinzaine de minutes tout au plus de l'entrée de l'air chaud.
Nous sommes arrivés les premiers Yves et moi, précédé de Jean-Claude et Patricia de l'ACV, suivi de Lolo et Mymy avec leurs deux adorables petites filles, Franck et Laure, ainsi que Cat et J.Marc des Aragnous.
Les tentes se jettent ou se plantent, des baches sont tendues entre les arbres car ça s'annonce humide, du bois mort crépite entre quelques pierres judicieusement installées par Patricia et moi-même(Franck trouvera quand même à redire ;-)) et tout le monde salive devant la bavette de 2 kgs dont nous régalera Yves.

Le dimanche matin nous amènera Didou (ACV et Aragnous), Philippe et Sophie (Aragnous), ainsi que Zette.
Vers 10h30, Franck se lance dans l'équipement laborieux, suivi de Laure, Bibi, Yves et Laurent. C'est boueux et boyeux dans un premier temps, et très complet dans un deuxième temps ; du ramping, du méandre, de petits puits (le plus grand n'excèdera pas la vingtaine de mètres), des zones humides (voire mouillées), de la zone très sèche, des concretions, des coulées... Puis il y aura une zone de désescalades suivi d'escalades où ne sait plus très bien si on monte pour descendre ou inversement. Mais bon finalement on descend quand même !
Pour finir de nous rendre dingue (si on ne l'est pas déjà;-) il y a même moyen de ce perdre dans ce trou ! Drôle d'effet de voir Franck (qui était sensément devant) surgir d'un passage transversal derrière nous, surpris, lui-aussi de nous trouver sur sa route. C'est qu'il y a une succession de croisements et que l'étroiture que vient de franchir Franck est évitable, comme nous explique J.Marc qui vient de nous rejoindre avec Cat. Bonne nouvelle, et nous empruntons donc, pour la majorité d'entre-nous le passage le moins étroit.
J.Marc place des "balises" pour Didou, J.Claude, Philippe et Sophie dans ce labyrinthe, et nous continuons à la queue-leu-leu notre progression jusqu'à l'élargissement final sur la rivière !
Tout ce volume nous coupe le souffle, et nous ouvre l'appétit ; la pause casse-croute est donc faite dans la salle des pirates, avec l'équipe au grand complet.
Lolo a eu la bonne idée de transporter un réchaud et nous avons même eu (quel luxe!) le choix entre café ou thé chaud.
La suite de la progression était une marche caillouteuse en bord de rivière, et j'ai fait demi-tour quand elle a viré à l'aquarando. Trempée jusqu'au cou, j'ai préféré ne pas me refroidir et attaquer la remontée tranquilou avec Lolo.

Vers 18h30, nous avons fait surface avec Laurent, suivi de Franck, Laure, Yves, J.Marc et Cat, tous bien boueux, contusionnés et un pneu creuvé quand même. Une fois décrottés, nous avons du nous plier à une "chasse au trésor", perfidemment concocté par notre équipe de surface (Mymy, Manon, Julie, Patricia et Zette) pour accéder à l'apéro, tandis que Didou déséquipait avec J.Claude, Philippe et Sophie.
Belle explo. vraiment ! et dur dur de résumer tout ça en quelques lignes !
Repas pris, Philippe et Sophie s'en sont allés car ils avaient oublié la couette, et les autres ont sombré dans un sommeil réparateur sitot la bouteille de verveine-citron vide.
Le lundi à été tranquille, c'est le moins qu'on puisse dire avec chasse à l'oeuf pour les enfants et visite de la pierre druidique (no comment!) et du


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