Direction : la bergerie de Sioux-blanc, puis un peu de piste et Hop ; L'entrèe de la cavité dénichée, et un pique-nique (quiche-galette des rois) avalé, nos 2 héros (;-))), Yves en tête, attaquent la descente.
Petite contrariétée à l'équipement, car si les déviations, du puit d'entrée, annoncées sur le topos sont facilement localisées, les spits prévus pour des fractio.,eux sont introuvables, et on se passe d'eux du coup.
A moins 50, on visite un peu, c'est plus joli que le puit. Mais nous n'irons pas plus bas, car comme nous le savons tous, le temps s'arrête sous terre, mais pas en surface, et il faut remonter.
Je trouve le moyen de laisser tomber l'étui de mon appareil photo alors que la surface était à porter de main, et me voilà quitte à redescendre le chercher à - 50, et à remonter une deuxième fois surtout.
Vu que Yves avait déjà fait un aller-retour dans ce puit à la recherche de spits invisibles à la descente, nous réalisons que pour descendre à - 50 nous avons parcouru en fait le double, on est trop bon !!!
Le retour est un peu épique, car nous empruntons une piste pour rentrer que Yves se rappelait avoir déjà pris, sauf qu'il devait être à pied ou en moto ce jour là, et que en voiture, ça ne passe pas, mais alors pas du tout... Une restanque finie quand même par l'arréter, et après un demi-tout laborieux, il faut faire le chemin inverse. Enfin, chemin est un doux mot pour définir le passage entre rochers, branchages, flaques boueuses que nous avons pris !
Mais les pires choses, comme les meilleures, ayant une fin, tout est rentré dans l'ordre, même si je reste persuadée, que c'est un bulldozer qu'il ferait mieux de conduire la prochaine fois, le gazier !
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