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GALAMAOUD ASSOCIATION SPELEO

GALAMAOUD ASSOCIATION SPELEO

Actualités du club spéléo de Carqueiranne

Publié le par Baptiste

Le dernier jour du stage Perf sur le plateau de Caussols nous étions allé dans les ténèbres jusqu'à -300. L'envie d'aller voir le fond s'est transformé en un weekend de juillet avec Alex VDK, Anna, Anaëlle, Aurélien, Justine, Margaux, Martin (du GARS) et moi même (Baptiste).

Objectif équipé jusqu'au fond à -446. Martin a équipé la veille jusqu'à presque -200 avec la marche d'approche et les kits c'est solide ! Samedi matin une première équipe part pour équiper la suite, la 2ème équipe dois nous rejoindre à l'ancien camp à -280. L'équipement a été plus rapide qui prévu et la 2nd équipe ayant eu du mal à trouver l'entrée, nous l'avons attendu 2h dans le froid et la bonne humeur. A leur arrivé on décide de changer d'objectif pour le réseau de -405 qui est plus rapide. Comme prévu Martin et Anaëlle reste dans la galerie fossile pour essayer une escalade. Le parcours jusqu'à -405 n'est pas trop exigeant, un peu d'eau jusqu'aux genoux. Attention lors de la remonté à ne pas partir sur les cordes d'explo c'est péteux.
C'est vraiment un chouette trou, les puits ont une certaines ambiances avec les échelles en fixes.

Du 1er entré au dernier sortie nous avons mis 14h.
Une belle sortie et le 1er -400 d'Aurélien, Anna et Justine, machine !

 

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Publié le par Baptiste

Dans un premier temps nous envisagions une sortie sur le plateau de Caussols pour équiper un -400, mais après le stage initiateur d'Albion l'idée d'aller découvrir le souffleur a germé dans ma tête. Une équipe est rapidement faite, Anna, Anaëlle, Justine, Alexia, Arnaud et moi même (Baptiste), objectif découvrir le souffleur qui est tout équipé en faisant un aller-retour au fond à -580.

Nous arrivons le vendredi soir 13 décembre à l'ASPA, on remercie encore Arnaud pour ce bon repas qui nous permettra d'être en forme demain. On ne mentionnera pas la personne ayant choisi le petit déjeuné à 7h30 😴. On aura malgré nous l'air d'une équipe déterminée qui se lève tôt, un petit dej plus tard nous sommes devant l'entrée du trou.

Après une petite erreur d'itinéraire dans le méandre des absents nous enchainons les puits jusqu'au méandre de l'Ankou avant de commencer les grands puits. De l'eau, des puits magnifiques, des silex c'est un vrai plaisir de descendre jusqu'au fond de cette cavité. Nous rejoignons le camp pour une pause repas sur une chouette table en pierre avec à côté une balançoire accrochée à 20m de haut.  Arnaud et moi partons repérer le siphon, la rivière qui y amène est incroyable. Et c'est déjà le temps de remonter, P114 puis P76 et enfin P64 pour retrouver le méandre l'Ankou qui sera nommé des biens des manières que je ne citerai pas. Nous remontons tranquillement mais sûrement sur le rythme des enceintes.

Après 13h de sortie la pleine lune nous accueil avec ses lumens au maximum.
On repart avec un maximum de souvenir et le premier -600 (on s'y autorise à 20m) d'Anna, Justine et Alexia encore bravo !

 

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Publié le par Baptiste

Nous sommes 5 motivés ce vendredi soir pour une fondue dans la salle du lac de la Ripelle.
Au programme des bons moments de rigolades, un bon repas, des bougies et un bivouac.
L'équipe de motivé à bien manger est composé de Justine, Maxime (de l'Escandaou), Anaëlle, Margaux et moi même (Baptiste).
Nous sommes passés par l'entrée des Loirs, qui n'est pas évidente à trouver de nuit.


Ci-dessous la salle du lac éclairé avec des bougies et une guirlande LED

 

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Publié le par Baptiste

Nous sommes 4 à rouler en direction de Saint-Christol d'Albion. Pour une semaine de stage du 26 octobre au 3 novembre, après laquelle nous espérons avoir 4 initiateurs de plus dans le club. Le premier binôme sont les pompiers composés de Sandrine et Vincent, le deuxième de Franck et moi même (Baptiste).

Après un petit dérapage moyennement contrôler du van de Franck nous arrivons tous samedi matin pour les tests techniques. Nous devions aller en falaise mais la pluie a changé le programme nous irons sous terre. Le soir nous tirons au sort nos trous du lendemain. Bien sûr les deux plus grands (dont je fais parti) ont gagné le plus petit trou ! Après deux jours pleins d'émotion nous continuons tous l'aventure.

Ce fut une semaine chargée mais au combien sympathique, une équipe de stagiaire soudée, des formateurs au top autant techniquement qu'humainement. Nous sommes logés à l'ASPA de Saint-Christol d'Albion et c'est un vrai plaisir, des repas qui motiveraient n'importe qui à traverser la France, des chambres de qualités et des cavités à ne plus savoir quoi en faire.

Le dernier jours nous avons un public support pour notre mise en pratique de toute la pédagogie d'encadrement ainsi que les différentes méthodes de contre assurage. Pour certain ce sera les militaires pour d'autre les villageois d'Albion. Et le soir nous apprenons que nous devenons tous les 4 initiateurs, aller on prend un pichet pour fêter ça !

Encore merci aux cadres et aux stagiaires pour les bons moment passer ensembles.
J'espère vous revoir rapidement !

 

 

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Publié le par Baptiste

Une petite spéléo du soir de plus, cette fois ce sera au Cierge.
Nous serons en nombre, Maxime (de l'Escandaou), Martin et son pote (du GARS), Margaux, Anna, Justine et moi (Baptiste).
Nous descendrons côté - 104. Une spéléo rapide mais très sympathique, nous conseillons la petite étroiture en bas qui ne sert à rien et c'est pour cela qu'on l'aime.

 

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Publié le par Paul

Au détour d’une conversation avec Arnaud, on se dit qu’il y a un moment qu’on n’a pas fait une sortie club. Rencontrer de nouvelles personnes, s’enrichir des expériences des autres, mais surtout raconter des conneries avec tout le monde… ça nous manque !!!

Je propose la Castelette. Arnaud trouve que c’est une très bonne idée : ludique, accessible à beaucoup de spéléos. Je l’avais en tête : écouter deux ou trois légendes urbaines (voûte mouillante…), ça promet, nous verrons bien. Un message sur le groupe, et Paul G. nous rejoint.

C’est une cavité spéléo par excellence : accessible, variée, elle offre un peu de tout. Ça monte, ça descend, il y a des étroitures, des concrétions, mais surtout de l’eau… Bref, un beau panel de ce que l’on peut découvrir sous terre.

Petite discussion technique sur la néoprène, Paul G. le local de l’étape, nous conseille de la garder durant toute la sortie. Ce fut la meilleure décision pour gagner du temps. Malgré que je sois « l’homme-torche », tout s’est bien passé. J’avais une 4 mm, mais une 2 mm aurait suffi. (Je suis prêt à affronter Thanos, easy!). Arnaud avait une 5mm et Paul G. une 2,5mm.

Nous entrons par l’entrée artificielle. (Petit pensée « RaeRae », mais version terre. Ceux qui n’ont pas la référence, je pourrais vous faire un dessin… en fait non)

J’équipe, je loupe un amarrage à la descente, à peine 15 min sous terre, je dois déjà une bière à tout le monde. Merci à Arnaud et Paul G. qui me donnent 2-3 tips pour l’équipement. Pendant que j’équipe ils se jaugent subtilement à savoir qui a la plus longue …expérience : « je ne sais pas si ça fait longtemps que tu fais de la spéléo mais avant mon initiateur je faisais toujours comme çà et puis maintenant j’ai changé et ça marche beaucoup mieux » ; « ils sont bien ces nouveaux mousquetons freino, à l’époque on n’avait pas ça, d’ailleurs je suis toujours à l’ancienne avec mon vieux mousqueton » ; etc.

Comme d’habitude, nous avons pris beaucoup de matériel, "au cas où". Un petit rappel de 25 m, ce sera le seul. On progresse dans le lit de la rivière et arrivons à "la Méduse", un ressaut de 4 m bien équipé. Ce n’est pas tous les jours qu’on chevauche une méduse. Une première fois, ça compte toujours.

Ensuite, nous arrivons à la fameuse voûte mouillante, légende de la cavité : entre ceux qui seraient restés bloqués, ceux qui ont vus des choses se déplacer dans l’eau… Le bassin est grand, il y a de l’espace. Moins de 3 m à franchir, çà frotille, mais pas de difficulté particulière. Quand on la met dans le ratio de l’ensemble de la cavité, ce n’est pas grand-chose.

Nous poursuivons dans la rivière : vasques, cascades dans les gours, eau limpide… Peut-être la plus belle partie de la cavité. Nous atteignons le chaos de blocs, qui mène à la grande salle. Heureusement, un fil d’Ariane est installé, car c’est très paumatoire. Petite pensée pour ceux qui ont trouvé le cheminement. Au milieu, Arnaud ne manquant pas d’humour me dit : « T’imagines si ça bouge ? » C’est clair, on dirait un mikado géant : mieux vaut ne pas retirer le mauvais caillou. D’ailleurs, à un moment, j’ai malencontreusement déplacé un petit caillou de 2 cm avec mon pied, il y a eu un grondement, Heureusement, Paul G., avec son entraînement de crossfiteur, a maintenu l’étroiture le temps que je remette le caillou en place. Ouf !!! (Nouvelle légende urbaine).

Une fois sortie du chaos de blocs, la grande salle est là, elle est grande, très grande, bref c’est une grande salle. Là aussi j’ai eu droit à : « quand on a commencé à avoir des vraies lampes on a pu voir l’immensité de la salle, ce n’était pas la même avec les lampes a carbures ; déjà quand je suis passé de l’acétylène à la lampe 13 leds, qui était une révolution à l’époque, … » Nous poursuivons dans la rivière : encore de très belles cascades, avant d’entrer dans le canyon. Le canyon est spectaculaire,

très haut et assez long. Nous optons pour le « sentier aquatique » : alternance de marche avec de l’eau jusqu’à la poitrine et de nage. Cela nous a fait gagner un temps fou, et en néoprène, pour l’homme torche c’est très agréable. L’autre option consiste à progresser en opposition à 3 m au-dessus de l’eau, en posant des mains courantes …

Nous atteignons la salle du siphon. Dernier cheminement à quatre pattes avant d’y arriver : le fameux siphon, rien d’extraordinaire sauf que l’on peut continuer en plongée bouteille. Petite pause. Nous décidons de manger dans la salle du siphon, en prenant le temps de discuter.

La progression retour fut tout aussi belle.

Pour conclure cette cavité est magnifique. C’est exactement ce qu’on imagine de la spéléologie quand on n’y connaît rien. Elle est dominée par l’eau, mais sa diversité de paysages souterrains est incroyable. Il faut y aller pour une chose : voir l’enchainement des cascades dans les gours (Un gour est une vasque de calcaire concrétionné).

Petite équipe de trois au top : dommage pour ceux qui n’ont pas pu venir. Avec la marche d’approche, nous avons mis 5 heures A/R, dont 4 heures sous terre. Le rythme était normal, pas de temps mort, on a pris le temps d’apprécier. Nous sommes tous les trois sortis avec le sourire : une belle sortie, pas trop physique, et des paysages à couper le souffle. Est-ce que l’eau est froide ? non, elle est vivifiante mais avec l’effort c’est transparent. Par contre pour ceux qui se posent la question : elle est mouillée et çà on n’y peut rien !!!!

Bon, j’ai essayé de filmer, mais il reste quelques réglages à faire, on ne peut pas être bon partout…je vous invite à venir la découvrir par vous-même, sinon vous pouvez aller voir sur internet les photos du photographe Philippe Crochet.

Nous avons fini par casser la croute et boire une bière…car comme le dit si bien Micka : « une sortie du GAS, il y a toujours une bière, toujours… »

À vos combis, bouées, brassards, on y retourne quand vous voulez, sans hésiter !

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Publié le par christophe

Nous étions 4 de 3 départements différents un vendredi soir à l'entrée du souffleur.

Le but était de vérifier l'état du bivouac; surtout le degré d'humidité des duvets suite à quelques utilisations plus ou moins pirates et respectueuses du matériel laissé sur place. Nous en avons profité pour descendre quelques kilos de carbure gracieusement offerts par le club. Vive le GAS ! 🙂

Après avoir rangé le matériel et fait une visite au siphon amont pour le plaisir, nous sommes remontés le samedi après-midi lestés de quelques déchets récents oubliés... 🙁

 

 

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Publié le par Marie

Dimanche 13 Octobre 2024

 

Après avoir validé ma première chauve-souris et l’initiation à la verticale, deuxième étape de notre progression, la découverte de la verticalité.

 

Nous avons rdv au parking du Gaudin, à la glacière du Pivaut St Baume.

Nous sommes accueillis par Laure et son lumineux sourire Léo et sa maman et Denis.

Nous nous équipons des baudriers, harnais de torse et passons en revue le matériel qui nous entoure.

Je connaissais déjà un peu pour avoir été bizutée sur l’arbre du jardin de Laure et Franck (bravo …) !!

Laure nous indique que deux futurs initiateurs Sandrine et Vincent vont nous prendre en charge.

 

Nous arrivons sur site une faille est équipée et de l’autre côté un mur rocheux plein vide qui, selon mon œil expert de fine métreuse, mon stress additionné à la force du vent et la taille des nuages fait au moins 200 mètres !!! Ah … on me dit que ce n’était que cinq mètres vu d’en haut je n’aurais pas cru … Vu d’en bas en effet … 😊

 

Etrangement je me sens plus à l’aise entre deux murs que contre un seul, de l’avis général c’est ce qu’à peu près tout le monde ressent.

Sandrine me prend alors sous son aile. Nous passons en revue l’équipement deux petites erreurs avaient sciemment étaient glissées (bizut bis repetita  😊) et nous amorçons la descente.

Sandrine m’énonce de façon très claire, calme et posée les indications quant à ma progression. Première difficulté le fractionnement et là le moment où l’on doit se positionner dans le vide. Et c’est à cet instant précis que mon cerveau c’est fractionné lui aussi. D’un côté la peur de l’autre la conscience, l’envie, la motivation autrement dit apprends bien tu descendras bien et à toi les explorations.

 

Lorsque la partie gauche dont je suis la moins fière me dit « es-tu sure Marie de cet équipement ? Ne pourrait-il pas te lâcher, s’entortiller ou pire dont je n’ai pas encore réfléchit ??

L’autre partie me dit non regarde, ils sont passés dix fois les copains ils ne sont pas tombés ils sont flex les bras ballant dans le vide … il n’y a rien à craindre. D’autant que tu as regardé l’équipement tout est parfait les mousquetons sont parfaitement positionnés, les cordes pareil on est bon.

 

Et satisfaction, je l’ai fait et en fin de compte tout va bien je me sens plutôt bien entre deux rochers.

 

L’après-midi Denis et Franck m’accompagnent Denis m’apprend la descente dans le vide c’est la même chose que le matin mais l’environnement est différent et je ne suis pas franchement à l’aise mais il a les mots, la posture pour me faire comprendre que je suis parfaitement sécure. Bon la partie gauche de mon cerveau me fait trembler des jambes me tétanise un peu le bras gauche … La plaie la prochaine fois je viens sans elle … Mais Doriane qui me regardait du haut de la colline a su trouver les mots aussi pour apaiser la légère appréhension.

 

Je remonte avec Franck et pareil son aisance est incroyable et le déclic je n’ai plus plus peur. Je suis à l’aise moi aussi, Laure prends le relais et nous remontons par un autre côté j’apprends la simplification des procédures en gardant la sécurité en priorité pour la  deuxième difficulté, la déviation.

Là, mes coudes et mes genoux sont allés au contact des rochers … Ce besoin de proximité … je ne comprends pas lol !!

Mes genoux aussi par ailleurs allons bon … Que tout le monde s’y mette, allons y …

C’est à ce moment-là que Guillaume décide de simuler une glissade… mais il est toujours accroché… il est extrêmement fiable ce matériel c’est bien ce que je disais !!! eh eh …

 

En conclusion merci infiniment à tous pour cette journée, pour votre patience, pour les astuces et explications, la bienveillance, la camaraderie, l’apéro, A aucun moment je n’ai senti de vous une quelconque lassitude à nous attendre, à nous apprendre. <3

 

Je me sens prête à descendre !! Pas aujourd’hui parce que j’ai deux trois bobo mais demain c’est sur !!!

 

Et pour finir : « La rivière a besoin de prendre le risque d’entrer dans l’océan parce que c’est alors seulement que la peur disparaîtra, parce que c’est là que la rivière saura qu’il ne s’agit pas de disparaitre dans l’océan, mais de devenir océan. »

 

Marie.

 

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Publié le par cat et jm

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Publié le par Paul M

bonne lecture!!!

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LIENS

www.laventure.fr

 

 

 

 

 

 

historique et presentation

Au départ, 4 copains de Carqueiranne qui pratique la spéléo depuis l’âge de 15 ans.

Nous nous rapprochons vite du SCS (Spéléo Club de Sanary), club très structuré où la famille Clément nous accueille à bras ouverts. Pendant 4 ans, Hervé Tainton, président du club va nous entraîner sur de nombreux massifs calcaires dans des aventures plus rocambolesques les unes que les autres.

Petit à petit, nous faisons découvrir notre passion à d’autres amis de notre commune. En 1983, nous décidons de nous émanciper en créant un club à Carqueiranne. Etant tous motards, nous avons fait en sorte que les initiales du nom fassent GAS, le G étant tiré d’une vieille légende provençale.

 

Depuis le début, le club est affilié à la FFS (Fédération Française de Spéléologie) avec une forte implication dans la vie et les actions fédérales.

Par ailleurs, il a un agrément « Jeunesse et sports » et est membre du CDS 83 (Comité Départemental de Spéléo).

Son fonctionnement est totalement basé sur le bénévolat. Les anciens initient et forment les nouveaux qui à leur tour deviennent encadrant.

Actuellement, il est partenaire actif de l’EDSC 83 (école départementale de spéléo et de canyon) et est engagé auprès du SSF 83 (spéléo secours) pour diverses missions spécialisées.

Il dispose d’un matériel collectif conséquent qui permet de pratiquer la spéléologie sportive ou d’exploration, le canyoning, l’escalade et la randonnée engagée.

 

Deux bulletins retraçant nos aventures de 1983 à 1997 ont été édités par Alain Kilian et sont disponibles ci dessous, ainsi que tous les comptes-rendus annuels d’activités depuis 2005.

 

Comptes rendus annuels

 

Toutes les vidéos sont à retrouver sur le lien :

 

Vidéos

 

Quelques articles de presse :

 

Articles

 

COMPOSITION DU BUREAU

 

Présidente : Laure Mattéoli

Vice présidente : Carine Fourcade

Trésorier : Franck Prévost

Secrétaire : Laurent Kilian

Secrétaire adjointe : Zette Mattéoli

 

Adresse postale : 79 rue Jean Jaurès, 83320 Carqueiranne

Tel : 06 09 09 28 12

Mail : contact@speleogas.org

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